Le problème des jeunes ogivins c'est surtout l'oisiveté, le manque de travail et de loisirs dits "à la mode".Il est facile de dire que les ogivins consomment de l'alcool plus que les autres, tout simplement par ce que les effets sont plus remarquables. Mais il est à signaler que les jeunes passent 8h dans des champs, et qu'ils rentrent chez eux avec un ventre vide, des enfants qui pleurent de faim,une maman malade, un papa pauvre, oui je dis bien PAUVRE. Que faire? Quel plaisir trouvez vous dans la vie? Une vie qui ne donne meme pas une lueur d'espoir. Trouvons,proposons des solutions pour occuper utilement nos frères et soeurs. Par exemple, les sociétés qui exploitent le bois de chez nous, pourraient, avec l'aide des maires des villes( MKK,MKB, BOOUE, OVAN..) créer au des menuseries pour employer les jeunes et leur donner du travail. Nous avons tous vu (j'Espère!) ce que Sogara, Shell.. ont fait à POG, pourquoi pas chez nous?Les jeunes qui sont en vacs, pour éviter qu'ils succombent dans le VIN, les Femmes( Grossesses dites indésirées, SIDA) on pourrait grace à l'aide de nos ainés faire des cour des vacs, instruire les gens sur le SIDA par des conf organisées par des étudiants en collabo avec des ONG. Que faisons nous? arretons de subir la vie, vivons là, et faisons vivre les otres! car la vie sans donné quelquechose de nous de notre etre ne vaut rien.
Je suis gabonais et fier de l'ettre, j'ai aucun parti pris, mais je sais qu'à FCV, on boit plus qu'à MKK, et qu'à POG les soulards ogivins (excusez moi du terme) ne sont rien. La différence c'est que eux ils boivent pour le plaisir et par ce qu'ils ont des moyens, nos frères (moi aussi?)boivent pour oublier les galère. Mais c'est pas une excuse!
Pour le pb du SIDA: C'est le fait que l'éducation commencée au niveau familiale et scolaire a regressée en OI, redonnons à nos frères le gout de l'éducation, des études. Il yavait un jour à la TV, j'avais vu qu'à l'UOB, on recompensait les meilleures étudiants Ogivins, mais faisons de mm au primaire et au Lycée. Bon là ça devient un discours. Ciao!