Le tourisme écologique suppose la réunion d'un certain nombre de facteurs, qui sont autant d'équilibres délicats entre exploitation et protection de la nature.
Comment arrimer ce tourisme de type moderne avec les difficultés de mobilité que connaît notre province?
Et à supposer que des routes et d'autres voies soient aménagées, quels seraient les bénéfices d'une telle activité pour les populations rurales et la région elle-même?
Les trois parcs nationaux créées sur le sol ogivin peuvent-ils concrètement contribuer au développement effectif de notre région?